Dans le parcours de Stéphanie Leblanc, tout est à peu près question d’équilibre. Très tôt dans son enfance, sur le cheval, les jambes ne dépassant pas la selle, il faut tenir. Sur la planche de surf plus tard, plus grande, plus libre, dans les Caraïbes, à Barcelone, ailleurs dans le monde, il faut trouver. Ce point d’équilibre qui permet de glisser. Sur la toile ensuite, à Londres, à Biarritz, là où elle crée et expose. Peindre le surf ou des portraits. Mais toujours, trouver cet équilibre qui permet la justesse.